La construction de l’église de Saint-Etienne l’Allier remonte à la fin du XIème siècle. Elle était à l’époque l’une des plus importantes de l’arrondissement avec celle de Saint-Germain de Pont Audemer.
Elle fut donnée au Bec lors de sa fondation.
Ce qui fait la réputation de cette église, c’est son mobilier et en particulier ses somptueuses boiseries (fin du XVIIème siècle) classées à titre définitif parmi les Monuments Historiques en 1907 par arrêté ministériel signé Aristide Briand.
Les deux autels latéraux du jubé, en bois sculptés, sont surmontés de statues de saints particulièrement vénérés dans la région à l’époque des épidémies de peste : Saint Sébastien, Saint Roch, Saint Mathurin, etc.…
Gisant de pierre, datant de 1300, découvert dans son « enfeu » en septembre 1990. Représente un ecclésiastique en habit sacerdotal. A l’heure actuelle, ce gisant n’a pas encore été identifié.
La Sarcophage de l’église : tombeau du Christ de style égyptien.
Vitraux de la rosace du pignon et du choeur, du maître verrier de Conches, Décorchemont.

Dos à l’église, prendre à gauche et à 50 mètres prendre la première à droite. Continuer tout droit pendant 800 mètres et au stop, prendre à droite la petite route boisée pendant 1.5 kilomètres.

L’exposition se répartit en plusieurs thèmes qui évoquent, entre autres, la vie quotidienne sous l’occupation allemande, les différentes actions du maquis, la Libération, les martyrs de la Résistance, le monument du Maquis Surcouf et les autres lieux de mémoire. De nombreux documents et objets sont exposés : casques de soldats, drapeaux FFI, croix de Lorraine, TSF, machine à écrire, etc…

À l’intersection, prendre à droite et continuer tout droit sur 1.8 km.
Arrivé dans l’épingle à cheveu, récupérer la route à droite et à 200 m, monter la côte à gauche sur 100m et prendre la première à droite.

La particularité du village de La Poterie Mathieu réside en son cimetière car il y pousse un conifère et ce, à l’intérieur
d’une tombe.
L’église, sous le patronage de Saint Pierre, date du XIIème siècle, en style pseudo gothique tout en conservant deux étroites fenêtres cintrées, deux contreforts en pierre et l’arc triomphal en tiers point.

En haut de la côte, à 400 m, continuer tout droit sur 1.3 km.
A l’intersection, prendre à droite jusqu’au petit pont, puis de nouveau à droite.
Prendre tout de suite à gauche pour arriver à la RD. Prendre à gauche pendant environ 100 m et prendre à droite juste avant la mairie.

Après 400 m, au carrefour, prendre à gauche et continuer tout droit pendant 2.3km.
Arrivé au croisement de la VC18, prendre à gauche sur 250m pour arriver dans le bourg de Campigny.
Traverser le parking prendre à gauche au stop et tout de suite à droite la petite route qui descend pendant 1 km.

La Chapelle Saint Firmin date du 16ème siècle, classée à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques.
D’une superficie de 85m², la chapelle a été dédiée à Saint Firmin, martyr.
C’était un lieu de pélerinage car des guérisons miraculeuses s’y opéraient (rhumatismes et rachitisme).
Cette chapelle a été l’objet de travaux qui ont commencé en 1996. Dix ans plus tard, son propriétaire a terminé sa restauration.

En bas, au petit pont, prendre à gauche puis à 50m à gauche. Longer la Véronne pendant 3 km.
Passer devant l’église de Saint-Martin Saint-Firmin. Poursuivre sur 1.4 km. Arrivé au virage, prendre à droite et continuer sur 800m. Au stop, à droite et de suite à gauche.

Elle était autrefois un lavoir

Cette commune abrite la fontaine Fiacre qui était autrefois le lavoir.
L’église de Saint Martin le Viel ou Saint Martin du Doult remonte au début du XIIIème siècle.
Le chevet, plat et épaulé par trois contreforts, était jadis percé de deux lancettes en tiers-point. La façade occidentale et une partie des murs de la nef en échiquier de pierres et de silex taillés datent du début du XVIème siècle.
On peut admirer sur le montant de son pittoresque porche en charpente des clous d’intention qui ont été enfoncés en l’honneur de Saint Firmin.

Le Manoir du Vièvre (propriété privée) : colombages Henri IV, tourelles, Louis XIII, avec 5 tours en briques.